Les journaux «anglos» ont manifestement trouvé la recette pour alimenter leurs revenus numériques grâce aux abonnés.
LES TEXTES QUI NOUS ONT MARQUÉS CETTE SEMAINE
D’ici 2040, on ne fera tout simplement plus de bébés (ou si peu…). Si on se fie aux prévisions, la reproduction humaine risque de se faire de plus en plus de façon artificielle. Le professeur en génomique Stephen Hsu, de l’Université du Michigan, croit qu’on pourra déterminer la taille et l’intelligence à partir des cellules des embryons d’ici dix ans, mais ça va bien plus loin que ça: on pourra bientôt procéder à des modifications génétiques précises grâce à la procréation assistée. «Et personne ne voudra voir son bébé laissé pour compte car il n’est pas assez grand ou son QI est plus bas que la moyenne», écrit Jamie Metzl, un auteur américain versé en génétique.
Le Cambodge est à l’aube de ses élections législatives. Le Parti du Peuple, qui avait été vivement critiqué par la communauté internationale pour avoir dissout le principal parti d'opposition en 2017, a néanmoins de grandes chances de remporter la victoire. Il a su séduire une majeure partie des électeurs en propulsant les affaires cambodgiennes sur les marchés européen et américain grâce à ses mesures économiques. En effet, avec sa croissance annuelle de 7% depuis six ans et une des industries manufacturières les plus importantes au monde, le Cambodge attire un nombre grandissant d’investisseurs. On parie que ces derniers surveilleront de près les résultats des élections.
L’ONU est une fois de plus à court d’argent. L’Organisation des Nation Unies accuse un déficit de 139 millions de dollars pour la fin d’un premier trimestre, un montant jamais atteint jusqu’à présent. Plusieurs pays n’ont pas payé leurs parts et malgré que ce ne soit pas un évènement inhabituel, cette fois l’ONU va devoir prendre des mesures supplémentaires pour relancer les financements. « Jamais L’ONU n’a été confronté à une situation aussi difficile si tôt dans l’année civile », a confirmé le secrétaire général de l’organisation.
Un autre problème pour Apple. Dans un de ses vidéos parus la semaine dernière, le youtubeur David Lee est obligé de transporter son ordinateur Mac Book Pro dans un congélateur afin de réduire sa chaleur. L’ordinateur qui pourtant n’avait pas été poussé à des limites extraordinaires était devenu extrêmement lent en raison de sa surchauffe. Ce n’est pas un cas à part puisque Apple est en ce moment même poursuivi par une douzaine de personnes à cause de problèmes liés à l’Iphone. Les erreurs se multiplient pour cette compagnie…
Cette entreprise a testé la semaine de quatre jours et ne retournera plus en arrière. Perpetual Guardian est une société financière néozélandaise spécialisée dans la gestion des successions qui a instauré un programme de six semaines durant lequel ses 240 employés travaillaient quatre jours, tout en gardant leur plein salaire. Résultat: le niveau de stress a baissé de 7%, l’équilibre famille-travail s’est amélioré de 24% et l’engagement des employés s’est accru de 20%. Tout ça sans affecter négativement la productivité de l’entreprise, ce qui donne le goût à ses dirigeants de rendre ce projet permanent. Andrew Barnes, PDG de Perpetual Guardian, affirme à Fortune avoir eu cette idée en lisant des études indiquant que la productivité d’un employé à temps plein n’était que de 90 minutes par jour, vu le manque de temps libre pour effectuer d’autres tâches.
Les promoteurs de cet ambitieux chantier blockchain, soutenu depuis longtemps par le gouvernement, s’interrogent soudain sur les conséquences de la polémique (...)
De petits entrepreneurs blockchain de la province se sentaient jusqu’ici engagés dans un massacre de gladiateurs avec le bras énergétique tout-puissant (...)